Rendez-vous a été pris pour participer au premier talk de nowaternous et le cjd horizon en Afrique, à Tunis le 6 février dernier.
Comment lier environnement et formation, et comment les écoles peuvent être force de proposition et de mise en place de solutions.
Les jeunes, s’ils ont ce dynamique que nous reconnaissons tous, ont besoin d’être informés, cadrés, orientés, conseillés, accompagnés dans leurs démarches et actions, s’il on veut que cela dure et qu’ils transmettent, une fois acteur, à leur tour aux futures générations.
Oui, les étudiants peuvent effectivement jouer un rôle important dans l’influence sur la mise en place d’un cadre légal, même si cela peut paraître ambitieux. Leur mobilisation peut avoir un impact direct, indirect ou à plus long terme sur les politiques publiques relatives à la gestion de l’eau.
Les adultes, les entreprises, les acteurs de la formation, ont un rôle clé à jouer pour soutenir les initiatives des étudiants concernant la législation. En leur offrant des ressources, des conseils, des opportunités de mise en réseau et un soutien financier, ils permettent aux étudiants non seulement de porter leur voix mais aussi de maximiser leur impact.
Ce partenariat intergénérationnel peut créer une dynamique forte pour influencer la législation, sensibiliser le public et encourager des actions concrètes.
Ces exemples montrent que les étudiants, lorsqu’ils sont soutenus, peuvent avoir un impact réel sur les politiques publiques et contribuer. Grâce à leur énergie, leur créativité et leur capacité à se mobiliser, ils sont souvent en mesure de sensibiliser, de proposer des solutions innovantes et même de pousser à la création de cadres législatifs plus forts pour la protection de l’eau. Le soutien institutionnel, juridique et financier est crucial pour transformer ces initiatives en réformes tangibles et durables.